C’est devenu un réflexe. Lorsqu’une information nous manque, on consulte Google. Et ce serviable petit savant a réponse à presque tout. Au point que, dès que vous commencez une phrase, il la termine pour vous. Par exemple, si vous tapez la politique est… Google termine votre phrase avec 4 propositions dont… le royaume du malentendu. Si vous mettez la météo est… il proposera … une science qui permet de connaître le temps qu’il aurait dû faire. Ou encore, pour rester dans les mots courants, l’amour est…dans le pré ou aveugle.
Vous pouvez aussi demander: la presse est-elle… le choix offre: libre, objective, de gauche? Evidemment, il y a des antagonismes et il faut ensuite choisir. Pas trop difficile dans ce cas. Il y a aussi des réponses qui se cumulent. Exemple avec juste deux mots permissifs: peut-on? Déjà il complète: aimer deux personnes à la fois, manger de la viande séchée enceinte, lutter contre l’échec scolaire!
Google n’a rien à dire sur le sexe, c’est volontaire. Et s’il nous offre wikipédia, et l’encyclo-pédia, aucune piste d’un pense-pédia pour nous aider à réfléchir par nous-mêmes.