Une étude italienne a chiffré la valeur de l’image de marque de la Tour Eiffel. Selon la chambre de commerce de Monza et Brianza, elle serait le monument européen bénéficiant de l’image de marque la plus forte, devant la Sagrada familia à Barcelone et le Dôme de Milan. Mesurée à l’aune de sa réputation économique par opposition à une valeur matérielle, la Tour Eiffel vaudrait la modique somme de 434,5 milliards d’Euro. Une estimation faite en 2012, une éventuelle inflation n’est pas connue.
Evidemment qu’à ce prix, les acquéreurs ne se pressent pas au portillon, d’autant moins que l’amortissement n’est de loin pas assuré. Pourtant, il est parmi les pétroliers des Emirats pour qui le prestige n’a pas de prix. Aussi le Quatar serait acquéreur de l’objet. A la condition évidemment qu’il ne quitte pas son Champs de mars et que le Quatar puisse étaler le paiement d’un prix arrêté à…250 milliards. Un premier versement de 50 milliards permettrait à l’encore actuel chef de l’Etat qui n’en est pas à sa première lâcheté, de tenir sa toute première promesse, soit financer le pacte de responsabilité. Plus besoin de presser encore le citron de ceux qui l’ont élu. Une vraie réhabilitation de l’homme normal.
Là, force est de constater, que le Canton de Vaud n’a pas su se placer sur l’échelle des valeurs. Quoique… Si un Quatari pensait acheter le Château de Chillon, est-ce que le fisc vaudois lâcherait du lest et mettrait de l’eau dans le citron? Un mois sans une nouvelle taxe ou hausse de taxe, ce serait une nouveauté. Mais Chillon reste à nous!