DSK

Accusé de différents maux, l’ancien directeur du Front Monétaire International (FMI) est à nouveau sous les feux de la rampe. A croire qu’il aime ça !

Proxénète ou victime d’un complot? Probablement ni l’un ni l’autre. Libertin c’est sûr. Un peu souffrant aussi. Un Priape moderne. Une seule odeur d’une marchandise féminisée et il vit! La déculotte doit suivre immédiatement sous peine de problème médicaux. Le priapisme n’est jamais bénin. L’homme qui en souffre ne peut tanguer longtemps, il lui faut démâter, secouer, évacuer. Quant à savoir si le matériel utilisé était offert spontanément ou acheté, DSK se serait-il une seule fois posé la question? Ces martingales étaient toutes offertes, naturellement. Peut-être même qu’il pensait que c’était pour ses beaux yeux, son corps d’Apollon, sa gueule de jeune premier. Mais le pseudo meilleur économiste de tous les temps, savait aussi qu’il y a différentes marchandises qui servent à s’approprier une part de pouvoir.

En France, la loi n’interdit pas la prostitution, mais d’en tirer profit. Evidemment sauf pour l’Etat qui lui, taxe ces Dames. Donc DSK, si près du pouvoir, ancien de Bercy est à l’abri de tout soupçon. Si profit il y a eu, il a été pour l’Etat. L’accusation de proxénète tombe donc. Quant à la thèse du complot…. Le plus machiavel de ses adversaires aurait-il eu l’idée de s’acoquiner avec Dodo la Saumure pour se fournir en marchandise? Non. Nous sommes là dans la clause du besoin et les moyens d’y remédier ont été trouvés par le consommateur lui-même. Bon c’est vrai, il n’était pas obligé de leur tailler des croupières ni de n’aimer que le croupion dans le poulet, mais ça, finalement, ça le regarde.