Opinion
Cette fois ce n’est plus à Rio ou à Moscou qu’arrive le pire. C’est là, chez nous à Epalinges! Un homme s’est fait battre à mort pour n’avoir pas pu satisfaire suffisamment des cambrioleurs. L’homme avait fait preuve de courage en se présentant face aux malfaiteurs. Pourquoi n’a-t-il pas appelé la police d’abord? Il est trop tard désormais pour se le demander. L’inimaginable est arrivé. Les assassins courent juste le risque de quelques années de prison…. Rien, jamais, n’excusera cet acte odieux et révoltant. Ce triste épisode montre bien que la violence se diffuse de plus en plus largement. Aucun pays n’y échappe plus.
Ne serait-il pas temps de laisser nos polices faire un travail de prévention plus important qu’actuellement? A appeler les pandores pour constater que le voisin laisse sa voiture sur votre chemin, sa haie grandir ou que quelqu’un parle sur une terrasse à 22 h10, est infantile. C’est un abus du pouvoir en place. Il faudrait y penser et
leur laisser le temps de patrouiller avant de vivre le pire comme à Epalinges.