En Bretagne, la société First Class Robotics propose, et c’est nouveau, un robot de service en location. Il peut servir les petits fours sans faire de commentaires ni plonger dans les décolletés. L’inventeur le qualifie de «robot animé par une intelligence câblée sans faille garantissant une fiabilité proche des 100/100 et qui peut aider l’homme dans les tâches ennuyeuses et répétitives».
On pense immédiatement que le gouvernement pourrait facilement investir dans ce type de location. Un tiers de l’argent destiné aux Grippen suffirait. Ils en placeraient un par bureau pour renvoyer les patates chaudes sans se brûler. Ce qui diminuerait drastiquement le nombre des salaires. A Lausanne ils remplaceraient les horodateurs par un No 1, ce qui libérerait les buissons des colleurs qui s’y cachent. Au parlement et dans les commissions il y en aurait un pour servir les plats qui se mangent froids. Allez savoir s’il ne pourrait pas avaler son chapeau à votre place. Tout cela sans erreur humaine… Donc, si son action n’apporte pas l’effet attendu, on pourra toujours dire que comme à Wall Street, c’est l’algorithme qui a foiré…