C’est génétique. Le mâle vise et aime les performances. Surtout sexuelles. Ça lui donne une sensation de puissance. Une mesure qu’il compare avec d’autres. Un sentiment de domination. C’est génétiquement masculin et ça traverse les siècles. Mais comment démêler le vrai du faux, la réelle performance et le coup de… bluff?
Les anglais ont trouvé la réponse. British condom vient de lancer I.Con. Ne voyez dans ce nom aucune allusion à une anatomie féminine. Non, con est simplement l’abréviation de condom qui veut dire capote. I.con est une capote connectée. Plutôt c’est un anneau qui se place à la base du préservatif et révèle à votre smartphone tout ce que vous n’avez jamais osé lui confier. A savoir la rapidité et le nombre de coups de rein, les calories brûlées pendant l’acte, la circonférence et la température du phallus, la durée des sessions et même les différentes positions utilisées. Toutes ces données, dont on ignore l’utilité mais qui font gonfler la crête du coq, s’enregistrent avec une autonomie d’énergie de …. 6 à 8h! De quoi faire rêver certains! Enfin, une option intelligente permet de détecter la syphilis et la chlamydia. Ouf de l’utile mais c’est en option.
Et la tendresse bordel? demanderait notre acteur national Jean-Luc Bideau? Que nenni, aucune mesure n’est programmée pour détecter le niveau de plaisir et de tendresse, seule compte la performance. Alors, messieurs à vos prouesses et souvenez-vous, 6 à 8h d’autonomie. Prévoyez assez de monde dans le lit!
Le blog de Nina Brissot 