Et la guerre dans tout ça?

On a tout oublié. Greta, comme l’Afghanistan. Les voyages formant la jeunesse, comme le cocooning à tirelarigot qui nous faisait croire qu’on se faisait du bien. Pourtant, nous avons plus de temps. Le télétravail a supprimé les longs trajets, les quarantaines ont fait oublier la course au temps. Mais rien n’est plus pareil depuis que la peur a pris ses quartiers dans nos vies.

Pourquoi la peur? Et de quoi? De cet invisible virus qui, chaque semaine prend des formes mutantes? De ces vaccins qui, selon certains détracteurs va tuer un tiers de la planète? Du voisin qui éternue et pourrait nous contaminer? Contre les ailes rognées d’une liberté que nous pensions acquise à tout jamais? Liberté de sortir, d’embrasser, de s’amuser, de voyager. Avons-nous les bonnes peurs? J’ai lu la semaine dernière dans le Figaro, que le Maire d’Alberville en Savoie se voit obligé par l’Etat de délivrer un permis de construire pour ouvrir une école privée islamiste de 16 classes, 400 élèves dans un quartier de 3000 habitants. Très bien pour le vivre ensemble diront certains. Or, le revers de la médaille montre qu’il devra, parallèlement, fermer des classes d’une école publique qui n’aura plus assez d’élèves… Nous sommes loin, très loin de la charte de la République que, selon Macron, les musulmans devraient signer. On sait aussi que le financement de ces écoles est assuré par l’Etat Turc et plus personne n’ignore qui est Erdogan et sur quelle route il s’est engagé. Personne ne semble avoir peur d’une islamisation à outrance de la France. Personne ne s’inquiète de la soumission d’un Macron ou d’un Darmanin, mais alors qu’est-ce qu’on panique face à un virus. Je ne sais pas si vous l’avez remarqué mais même les gilets jaunes se sont tus. Ils sont en quarantaine, en couvre-feu, en état de léthargie (heureusement d’ailleurs), dans la peur d’une guerre menée par un virus. Tandis que, tranquillement, sournoisement, mais avec la bénédiction du gouvernement, un islam rampant s’installe comme un cheval de Troyes en attendant qu’éclate une guerre cachée derrière un virus. Nous mourrons tous un jour et nous le savons. Si nous pouvions échapper à l’égorgement, ce serait agréable.

Laisser un commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s