Archives de l’auteur :  Nina Brissot

Travailler peut s’avérer profondément ennuyeux. L’ennui peut engendrer des trésors d’imagination. Que faire pour échapper au travail tout en étant payé? Ma grand-mère disait: celui-là, il a un panier d’excuses pendu au bras! Et du panier sortaient: une rate qui de dilate, un coude en manque de graisse (oui, ça engendre des faiblesses), une contrariétéPoursuivre la lecture de « Comment échapper au travail »

Les astres en sont certains. Dès le mois prochain une richesse inépuisable va fondre sur ma personne. Pouvoir, puissance, luxe, voyages, rencontres, tout, absolument tout doit réussir. Pour le reste de la vie. Je gamberge, j’invente, je divague, j’imagine… Je me délecte ! Et puis, et puis….je me dis que oui… Oui, bien sûr, il arriveraPoursuivre la lecture de « Quand je serai riche… comme l’horoscope me l’a prédit »

«Point d’argent, point de Suisse», l’adage remonte au XVe et XVIe siècle lorsque les mercenaires Suisses se mettaient au service des armées étrangères. Notamment lors des guerres faites par les Français en Italie. S’ils ne recevaient pas leur solde, tout le bataillon helvétique désertait. L’Helvète aux bras noueux a, de tout temps, vécu un rapportPoursuivre la lecture de « Le prix d’une exception »

Certes l’anecdote a déjà été traitée sur tous les tons. Lausanne a refusé la nationalité à un couple qui a refusé de serrer la main à des personnes de sexe opposé. Beurk! Toucher les mains moites de quelqu’un qui œuvre pour l’aider est quelque chose d’inconcevable pour des personnes dont les mœurs sont différentes. C’estPoursuivre la lecture de « A-t-il conscience de ce qu’il dit ? »

Le Brésil est un pays fantastique. La gaité y est presque obligatoire, tout comme le flingue dans sa poche si l’on traine du côté des favelas. La corruption y est endémique et organisée de façon que l’on ne puisse plus s’en passer. Une preuve? Condamné pour corruption à 12 ans de prison qu’il purge dansPoursuivre la lecture de « Pour sauver Maudet, mettez-le en prison »

Ma vie de tomate est peu enviable. Au départ, tout va bien, on me met des piquets, on m’arrose, on me regarde grandir on me fait rougir. Et là, clac! D’un mouvement brusque on m’arrache à la branche qui m’a fait pousser, on me jette dans des paniers, on me passe à la broyeuse etPoursuivre la lecture de « La complainte des légumes »

La photographie d’un super mec coiffé comme un footballeur et levant haut son verre de champagne peut-elle être jugée sexiste? A mon avis oui! Il existe autant de femmes qui aiment le champagne alors pourquoi la pub utilise-t-elle un homme? Et s’il s’agit d’un verre de Fendant? Au secours, en pays de Vaud, ce doitPoursuivre la lecture de « Quand les schémas d’oppression deviennent loi »

Faut-il ou non écorner les vaches? Un grand débat démocratique a occupé le parlement à ce sujet. A la base de cet enflammement du Conseil National, l’initiative finalement refusée proposant «un soutien financier aux vaches cornues». D’aucuns parlaient de confort pour les bêtes, de risque potentiel de blessures pour les dames belliqueuses. D’autres ont lancéPoursuivre la lecture de « Ah la vache ! »

L’ère numérique et technologique envahit nos vies, mesure les battements de notre cœur, dicte nos actes pour être en santé. Le téléphone photographie nos états d’âme pour les offrir en pâture à Facebook. Tiens, au fait, répondez-vous à votre portable lorsque vous faites l’amour ? Consultez-vous Doctissimo pour être certain que le moment de jouissancePoursuivre la lecture de « Technologie oblige… »

Vevey se veut ville d’images. Elle a quelques atouts pour cela. Un château des mille et une nuits les pieds dans l’eau complètement rénové par un privé, un bord de lac fleuri et bucolique, son Musée Jenish, son Musée Chaplin, ses collines, ses prairies, l’architecture en Y du siège mondial du géant de l’agro-alimentaire. OuiPoursuivre la lecture de « Vevey ville d’images »

L’idéal humain est fait de sentiments parfois drôlement contradictoires. Pour magnifier ce qu’il croit être une vérité, l’homme n’hésite pas à devenir terroriste. Ça a toujours existé. Enfin presque car du temps où nos aïeux était chasseurs cueilleurs, ce qui a permis de perpétuer la race humaine, ils n’avaient pas le loisir de s’improviser terroriste.Poursuivre la lecture de « Un terrorisme vegan… »