Exposé! Lorsqu’on entre en politique, on s’expose! A tous les risques. D’abord, ceux de se tromper. Ceux plus courants d’être envié, déguillé, dénoncé. Pour des raisons vraies ou fausses. Peu importe. Le but est qu’on en parle! Les affaires se montent et se démontent rapidement. Pourtant, en Europe du moins, quel que soit le paysPoursuivre la lecture de « La politique, un métier à risque »
Archives de l’auteur : Nina Brissot
Après les pigeons, les dindons
Monsieur et Madame Tartempion ont respectivement 87 et 85 ans. Ils ont beaucoup travaillé et accusent 64 ans de mariage. Ils jouissent d’une rente AVS de 3’510 frs pour les deux, soit une rente de couple qui plafonne à 150% de la rente maximum, ce qui représente 1’755 frs par personne. Même pas de quoiPoursuivre la lecture de « Après les pigeons, les dindons »
Vous êtes mariés ? Bonjour les pigeons
C’est peut-être une terrible nouvelle pour l’IFD (Impôt Fédéral Direct). Ce repère d’employés d’administration avait trouvé une source de revenus, certes contraire à la constitution, mais admise par la «justice» pour remplir ses caisses. Un petit jeu presque aussi subtil que les cars postaux. Il suffisait de pigeonner ces idiots qui pensent encore que, pourPoursuivre la lecture de « Vous êtes mariés ? Bonjour les pigeons »
Comment s’appelle ton coiffeur ?
Dans un palace bien gardé au centre de Genève, un blondinet à la mèche rebelle et au teint brique du major anglais s’assied dans un profond fauteuil de moleskine qui sera bientôt vendu aux enchères pour avoir accueilli le postérieur du président américain. Face à lui, dans un fauteuil un peu plus large et quiPoursuivre la lecture de « Comment s’appelle ton coiffeur ? »
C’est la faute aux Chinois !
C’est officiel, le taux de population touchée par le sida est à 13,5%. Et l’on a beau dire aux hommes de se protéger, la maladie progresse. C’est avec une grande colère que David Parirenyatwa, ministre de la santé du Zimbabwe, a tapé du poing sur la table devant les caméras de télévision pour dénoncer laPoursuivre la lecture de « C’est la faute aux Chinois ! »
Manger bio oui, mais pas en Suisse
C’est dans l’air du temps. Il faut manger bio, local et possiblement sans gluten. Avec l’arrivée depuis belle lurette de ce mot magique, «bio», les marchands alimentaires, les supermarchés en premier lieu, se sont mutés en experts santé de comptoir. Une façon bien à eux de justifier le prix du légume équivalant à celui duPoursuivre la lecture de « Manger bio oui, mais pas en Suisse »
Double prix pour le trajet…
Ahlala, au temps de la diligence postale, les déplacements sur les routes de montagnes tenaient de l’aventure. C’est qu’à l’époque, les bandits de grands chemins sévissaient plus ou moins violemment, dépendant de la résistance. Mais en général peu de sang coulait. Le butin et les bijoux des dames étaient embarqués et salut la compagnie! AvecPoursuivre la lecture de « Double prix pour le trajet… »
On prend son temps…
Au jeu du hâte-toi lentement, l’Helvète aux bras noueux est probablement champion et son administration, super championne! Ce n’est pas une question de procrastination, mais de rythme. En Suisse, il faut d’abord entendre, penser, réfléchir, imaginer, décider puis éventuellement agir. Et si, entre-temps, le cas étudié a été résolu, par le meilleur ou par lePoursuivre la lecture de « On prend son temps… »
St-Valentin et le hérisson amoureux
A l’occasion de la St-Valentin, pourquoi ne pourrions-nous pas, une année sur deux, remplacer cette journée de l’amour commandé par une journée des amours ratées? Auraient droit à une sortie, les «poor lonesome cowboys». Tous ceux qui, faute d’avoir un interlocuteur ou une interlocutrice avec qui échanger par smartphone devant un menu imposé, liraient leurPoursuivre la lecture de « St-Valentin et le hérisson amoureux »
L’arroseur arrosé… Broulis pincé
En voilà une histoire marrante. Le grand argentier se fait épingler pour de petits arrangements avec ses impôts. Oh, rien de bien grave. Broulis n’est pas Cahuzac. Et ce qu’il fait est légal. Il vit entre deux résidences mais garde ses papiers là où les impôts sont les moins chers. Il a raison. Et qui,Poursuivre la lecture de « L’arroseur arrosé… Broulis pincé »
Crêpages de chignons pour du Nutella
Je n’ose pas imaginer ce qui se passerait en Suisse si un magasin osait proposer une action pareille. Imaginez, sur tout le territoire français, le pot de 950 grs de Nutella offert en promotion, au prix de 1,41 euro. En Suisse, pour ce prix, on ne trouverait même pas 3 bricelets à tremper dans lePoursuivre la lecture de « Crêpages de chignons pour du Nutella »
Encore quelques jours pour les vœux
Il reste quelques jours encore pour envoyer vos vœux, la date butoir étant fixée à la fin de ce mois. Mais attention! C’est peut-être la dernière année où vous pouvez le faire en toute impunité. Car le politiquement correct guette. Il veut protéger toute intrusion illégale dans des vies pourtant devenues, par la force desPoursuivre la lecture de « Encore quelques jours pour les vœux »
A vendre, petite gare inutile
Madame la présidente Doris Leuthard s’est entretenue avec le président bolivien Evo Morales sur «une aide ferroviaire suisse pour la Bolivie». Peter Flugistaler, président de l’office fédéral des transports, participait à la discussion. Espérons qu’il est informé de la manière dont ça fonctionne ici avant d’aller proposer son aide. Mais à Berne il faut beaucoupPoursuivre la lecture de « A vendre, petite gare inutile »
Les ravagés de le guiguelette
Blue brain, ou l’étude supposée avant-gardiste du cerveau a du pain sur la planche. Si l’on se fie à la déferlantes de plaintes de femmes harcelées, pelotées, (taquinées diront ces messieurs), prises d’assaut comme des tours dont il faut forcer les entrées, il semble que le malaise ne vienne pas exactement du cerveau. Ou alors,Poursuivre la lecture de « Les ravagés de le guiguelette »
Mafli : retour sur un destin poignant
Non, il n’aura pas dépassé, comme il le souhaitait, le record de longévité d’Hans Herni. Walter Mafli s’est éteint à Lutry le 11 décembre après 102 ans d’une vie mal commencée mais bien remplie. Il laisse une œuvre immense, ayant abordé tous les styles de peinture, du géométrique à l’abstrait, en passant par le lyrique,Poursuivre la lecture de « Mafli : retour sur un destin poignant »
